HELP BAFOU

samedi 26 janvier 2013

THE HOUSE OF COMMONS, LONDON



January 17 in London, the "African Bruce Lee" gave a lecture to the very serious andrespected "House of Commons".

The Chinese, for whom 2013 will receive favor from the Snake, foresee that the political sector will be placed under the sign of wisdom. With this new intervention by Master Saatenang, the astrological prédiction is already accurate.

The one that Asia nicknamed the Black Chinese lives out another unusual and certainly foreign destiny as fate stepped in for a unique conference in the British Parliament, whose origin dates back to 1066.

The Conference that he gives Parliament first opens with a minute of silence for the victims of war in Mali and the rest of the world.

Despite the accolades he receives regularly,Master Saatenang has a good memory. This man of heart remains very attached to Africa where he was born, and attentive to the world around him and its socio-economic, political or even cultural problems. As he lends himself readily to the flattering exercise, DMS especially aspires to make his audience think. To question individually. And collectively. A necessity with no holding back.

His young age and jovial character do nothing to prevent him from taking a path of wisdom that we are all invited to walk.

He finishes his lecture by addressing his fightfor youth in which he sees our future.

Le 17 janvier dernier, à Londres, le « Bruce Lee africain » donnait une conférence à la très sérieuse et très respectée « House of Commons ».

Les chinois, pour qui 2013 doit recevoir les faveurs du Serpent, prévoient que le secteur politique sera placé sous le signe de la sagesse. Avec cette nouvelle intervention de Maître Saatenang, la prédiction astrologique s’avère dores et déjà exacte.

Celui que l’Asie surnomme le chinois noir vit une nouvelle fois un destin atypique et certainement étranger au hasard en intervenant pour une conférence inédite au Parlement anglais dont l’origine remonte à 1066.

La Conférence qu’il donne au Parlement s’ouvre d’abord sur une minute de silence pour les victimes de la guerre au Mali et dans le reste du monde.

Malgré les honneurs qu’il reçoit régulièrement, Maître Saatenang a bonne mémoire. Cet homme de cœur demeure très attaché à l’Afrique qui l’a vu naître, et attentif au monde qui l’entoure ainsi qu’à ses problématiques socio-économiques, politiques ou encore culturelles.
 S’il se prête volontiers à l’exercice hagiographique, DMS aspire surtout à amener son auditoire à la réflexion. Se remettre en question individuellement. Et collectivement. Une nécessité sans demi-mesure.

Son jeune âge et son caractère jovial ne l’empêchent en rien d’emprunter un chemin de sagesse sur lequel nous sommes tous invités à marcher.

Il finira sa conférence en abordant son combat pour la jeunesse dans laquelle il voit notre avenir.