SHAOLIN TEMPLE OFFERS 10 SCHOLARSHIPS TO YOUNG AFRICANS

“Alone, one goes faster; together, one goes further” (African proverb)

First black to become a member of Shaolin Temple.  Fourth non-Chinese to have been consecrated a monk of the 34^thgeneration under the name SHI YAN MAI.  A few months ago Master Saatenang traversed Africa in search of 10 youth with a promising future.  They will be the happy recipients of 10 scholarships generously granted by the Spiritual Head of Shaolin Temple.  The program:  traditional medicine, Shaolin kung fu, and Chinese culture.

A unique and unprecedented initiative that puts Sino-African relations under the sign of Wisdom.  The gift of Education. In other words, the keys to life.

Wushu Ambassador in the world and especially in Africa, Master Saatenang could well achieve this incredible feat of building a two-way bridge, thus tightly and carefully sealing the bond between a continent and a country.  The bond between his continent and his country.

LE TEMPLE DE SHAOLIN OFFRE 10 BOURSES D’ÉTUDES A DE JEUNES AFRICAINS

« Seul, on va plus vite ; ensemble, on va plus loin »  (Proverbe africain)

Premier noir à être devenu membre du Temple de Shaolin. Quatrième étranger non chinois à avoir été consacré moine de la 34ème génération sous le nom de SHI YAN MAI. Voici quelques mois que Maître Saatenang sillonne l’Afrique à la recherche de 10 jeunes à l’avenir prometteur. Ils seront les heureux bénéficiaires des 10 bourses généreusement octroyées par le Chef Spirituel du Temple de Shaolin. Au programme : médecine traditionnelle, KungFu shaolin et culture chinoise. Une initiative unique et inédite qui place les relations sino-africaines sous le signe de la Sagesse. Le don de l’Education. Autant dire les clés d’une vie.

Ambassadeur du Wushu dans le monde et plus particulièrement en Afrique, Maître Saatenang pourrait bien achever avec cette incroyable action la construction d’un pont à double sens, scellant ainsi avec force et douceur l’union d’un continent à un pays. L'union de son continent et de son pays.

AMERICAN CHANNEL PBS IN BAFOU, CAMEROON

Martha Burr and Mei-Juin Chen are currently producing a documentary titled The Black Kung Fu Experience, co-produced by ITVS and Lotus Films International, which will soon be broadcast on the famous national American channel PBS (Public Broadcasting Service).

At the end of September, the two producers will begin the last part of filming in Cameroon, in the company of Master Saatenang who will lead them along the footsteps of his extraordinary destiny.  In fact, the documentary, made in the form of chronicles, especially focuses on this Black Shaolin; no doubt he’s one of the few on earth to embody not without a certain elegance an exceptional and unprecedented cultural mosaic.  Prince of Bafou.  First African member of Shaolin Temple.  Shi Yan Mai in a way personifies a common thread that the two journalists are undertaking to follow.  Neither East.  Nor West.  Africa’s colors.  China’s ink.  On his shoulder and in his heart.

This film will also be the opportunity to discover or rediscover the strong cultural currents emerging from this resolutely multi-ethnic Black Kung Fu Experience:  blaxploitation, reggae made in Jamaica, or even Hip Hop and urban culture.

LA CHAÎNE AMERICAINE PBS A BAFOU (Cameroun)

Martha Burr et Mei-Juin Chen réalisent actuellement un documentaire intitulé The Black Kung Fu Experience, coproduit par ITVS et Lotus Films International et qui sera diffusé prochainement sur la célèbre chaine nationale américaine PBS (Public Broadcasting Service).

A la fin du mois de septembre, les deux productrices entameront la dernière partie de leur tournage au Cameroun, en compagnie de Maître Saatenang qui les emmènera sur les traces de son destin hors du commun. En effet, le documentaire, construit sous forme de chroniques, s’intéresse tout particulièrement à ce Black Shaolin ; nul doute qu’il est l’un des rares ici-bas à incarner non sans une certaine élégance un mélange culturel atypique et inédit. Prince de Bafou. Premier africain membre du Temple de Shaolin. Shi Yan Mai est en quelque sorte l’incarnation du fil rouge que s’attèlent à suivre les deux journalistes. Ni Orient. Ni Occident. Couleurs d’Afrique. Encre de Chine. Sur l’épaule et dans le cœur.

Ce film sera aussi l’occasion de découvrir ou redécouvrir des courants culturels forts issus de cette Black Kung Fu Experience résolument multi ethnique : la blaxploitation, le reggae made in Jamaica ou encore le Hip Hop et les cultures urbaines.